Bee Formentelli
Traductrice de l’anglais, de l’hébreu et du bengali, elle travaille pour diverses maisons d’édition dans des genres très différents (essais, romans, livres pour enfants et poésie). Elle a notamment traduit, de l’anglais, Le Ministère des sentiments blessés d’Altaf Tyrewala, chronique poétique de Mumbai (Actes sud, 2018) ; du bengali, Kabuliwallah, recueil de 22 nouvelles de Tagore (Zulma, 2016), ainsi que La Barque d’or, vingt-cinq poèmes de Tagore (Corlevour, 2019), et, de l’hébreu, trois recueils de poèmes dont La Faille syro-africaine d’Avot Yeshurun (Actes Sud, 2006) et Trente Pages d’Avot Yeshurun (Éditions de l’Éclat, 2016). Elle écrit aussi des articles.
Bonus
« Une telle authenticité, une telle humanité…
Le lecteur ne pourra pas ne pas
sentir sa gorge se serrer. »
Florence Noiville, Le Monde des Livres
Les lectures de Florence Noiville« Des histoires tendres, ou parfois si cruelles, mais tellement universelles et intemporelles ! »
Librairie Le Temps d’un livre – Pontarlier
Les coups de cœur de la librairie Le Temps d'un livre« Le regard de Tagore
sur la société indienne
si multiforme, divisée en castes,
traversée de tensions
et hantée par le fatalisme,
est à la fois incisif
et mélancolique. »
Alain Favarger, La Liberté
« Il y a tant de délicatesse dans la façon
qu’a Tagore de saisir les bruissements
de l’âme de ses personnages
en un même bouquet fragile. »
Valérie Delbore lit un extrait
de L’Âge du capitalisme de surveillance :