Premier roman — Postface de Georges-Olivier Châteaureynaud
Coups de cœur des libraires
« Dans Les Aventures d’Ibidem Serpicon, il y a un peu d’Éric Chevillard, d’Edgar Hilsenrath, de Raymond Queneau, de l’OULIPO à fortiori. Un grand mélange loufoque, doux-dingue ; une prose humoristique et absurde.
Ibidem Serpicon, comptable dans une librairie parisienne, aime à se promener lentement dans les rues de la capitale. Il apprécie prendre le bus, s’asseoir sur les bancs des squares, regarder les gens, les rencontrer, parler avec eux et se faire avoir. Naïf au grand cœur, un peu débile sur les bords, voire carrément, Ibidem est attachant et en même temps on a envie de lui botter les fesses. Ces dernières, d’ailleurs, qu’il tient en grande estime.
Dans une sorte de dialogue ininterrompu avec la voix off, sa petite voix intérieure, Ibidem discute et tente d’analyser le monde dans lequel il évolue. Pas tout à fait un roman, ces aventures seraient plutôt une succession de saynètes burlesques et attendrissantes. » Librairie Imaginaire - Annecy
« Voilà un roman qui apporte beaucoup de soleil, on y suit les aventures loufoques d’Ibidem Serpicon, personnage atypique et attachant, détente garantie ! On adore. » Librairie Les mots voyageurs - Quimperlé
« Voilà une tranche de vie fraîche et attachante à dévorer à pleines dents : Ibidem Serpicon, « humaniste libertaire de gauche » regarde le monde et nous invite à l’accompagner pour notre plus grand plaisir. Ibidem adore déambuler, flâner dans Paris et observer avec bienveillance (souvent) la vie et ses semblables, enfin semblable, peut-être est-ce un peu exagéré ! L’homme ne se sent pas bien dans notre monde, alors que faire : poésie, dérision, autodérision, humour, tragi-comédie, un mélange lumineux pour repousser le désespoir, « voir la vie comme un imbécile heureux » et développer une certaine philosophie de vie débordante d’humanité. » Max Buvry, librairie Vaux livres - Vaux-le-Pénil
« Ibidem Serpicon, anti-héros discrètement mémorable, profondément léger et surtout finement drôle. Un délice ! » Nathalie, Fnac - Paris - Forum des Halles
« René Haddad a travaillé comme comptable dans une librairie du 13e arrdt. Mais a aussi écrit, et parfois joué, ces petits fragments de vie rassemblés dans cet unique ouvrage.
Ibidem Serpicon est comme un Candide dans Paris. Du quai de Valmy à la place de la Nation, dont il admire la statuaire, il arpente à petits pas une ville qui à travers ses yeux redevient étrangère, peuplée de rencontres inattendues. Mais il a aussi maille à partir avec les maux, grands ou petits de la condition humaine. Gérer son corps, tailler ses ongles de pied, discuter avec son médecin, tout devient une aventure quasi philosophique. Enfin qui, sinon Ibidem, parlera de la dimension politique, anarchiste, de la côte de veau ! » Librairie L’Impromptu - Paris
« Une fantaisie. Un texte au style débridé, loufoque et fantaisiste, une déambulation fantasque qui révèle en filigrane tendresse et touchante mélancolie. » Manuel, librairie La Buissonnière - Yvetot
« Ibidem est un simple, voire simplet. Il se définit avec plaisir comme étant un imbécile heureux. Il arpente Paris et sa vie avec une philosophie tout à lui pleine de naïveté, protégé par la voix off qui fait partie intégrante du récit. Elle raconte et intervient lorsqu'Ibidem échappe au narrateur.
Drôle, attachant et souvent juste, Ibidem Serpicon, car là est son nom, est un régal de lecture, proche de Queneau ou Tati. » Jean-Frédéric Tonneau, librairie Decitre - Crèches-sur-Saône
