La Symphonie atlantique
Hubert Haddad La Symphonie atlantique

Roman

A paraître

224 pages
9791038702974
19,50
A paraître le 05/09/2024

CONTACT LIBRAIRIE : Valentin Féron

01 58 22 19 90 – valentin.feron@zulma.fr

Clemens, jeune Allemand issu de la bourgeoisie cultivée et bientôt à l’abandon, a tout l’air d’un elfe qui parcourt les massifs de la Forêt-Noire, comme dans les légendes. Alors que le régime nazi resserre peu à peu son étau sur l’Allemagne, sa vie d’enfant se trouve bousculée de foyer en institut, avec son violon comme un prolongement de lui-même. La virtuosité prodigieuse et fascinante avec laquelle il s’empare des partitions des plus grands lui permet d’échapper à la tourmente et à l’angoisse des enrôlements forcés dans les Jeunesses hitlériennes. Bientôt, une musique terrible arrive de l’Ouest, celle du déluge des bombes alliées qui s’abat sur les villes et précipite le pays dans l’abîme, emportant le destin de tous dans la guerre…

La Symphonie atlantique nous fait entendre Liszt, Mozart ou Grieg dans le fracas du monde, en un étrange écho avec notre époque. Hubert Haddad ravive avec maestria la culture allemande dévoyée par les nazis et donne la parole aux innocents, aux enfants et aux populations civiles bombardées. Tragique, essentiel et bouleversant.

Hubert Haddad

Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de son œuvre, Hubert Haddad est également peintre et critique d’art. Il a notamment publié un Magritte et une histoire de l’art à travers le thème du jardin, Le Jardin des peintres (Hazan). Avec L’art et son miroir, il nous invite dans son musée intérieur – dans les mille directions de l’imaginaire qui seul peut nous ouvrir à l’infinité sensible du monde.



224 pages
9791038702974
19,50
A paraître le 05/09/2024

CONTACT LIBRAIRIE : Valentin Féron

01 58 22 19 90 – valentin.feron@zulma.fr

Bonus

« Hubert Haddad est un poète ancré dans la réalité, un regard subtil sur la complexité humaine. »

Ouest France

« Deux nuages de fumée ocre s’élevèrent et, comme de lourds rideaux de théâtre, se refermèrent avec lenteur sur cette part du ciel. Il y eut un ultime échange de munitions en crescendo s’achevant fortissimo sur une succession de huit accords, huit explosions qui firent trembler le sol. – Beethoven ! s’exclama Wilfried. Le final de la cinquième symphonie ! Je jurerais que c’est joué par des appareils anglais, des bombardiers bimoteurs Vickers Wellington plus précisément… »

Hubert Haddad, La Symphonie atlantique

Hubert Haddad chez Zulma