Coups de cœur des libraires

« C’est poétique, c’est mélancolique, c’est froid, c’est étrange, c’est triste et beau à la fois, c’est fort dans l’espace entre les mots, c’est touchant dans les rapprochements trop tardifs, c’est une voix peu entendue sur la transmission, la maternité, bref, c’est un feu d’artifice froid, comme la couverture encore magnifique ! » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume —Limoges
« Désorientée par la mort de sa mère, Hildur embarque pour Flatey, petite île du bout du monde où sa mère lui a légué une maison jaune, ainsi que son mal étrange, la bipolarité. Submergée par les souvenirs de cette femme fantasque, elle se trouve en proie à des hallucinations troublantes. Sa rencontre avec l’homme aux yeux vairons sonne comme la promesse d’un nouveau départ.
Un premier roman étonnant porté par une écriture poétique qui donne toute sa profondeur à ce chant d’adieu. » Librairie Le Méandre — Meudon
« La mère d’Hildur vient de mourir. Elle lui lègue une lettre, une petite maison jaune sur une île, et beaucoup de souvenirs. Hildur n’a jamais pu dire “Mamam” ou “mère”, elle appelait sa mère Siggy, une mère atypique, froide, extravagante, dépressive et mélancolique. Alors Hildur revient sur ses souvenirs avec une grande originalité, pour comprendre sa mère et son comportement mais peut-être aussi pour mieux appréhender ses propres liens avec son fils Tumi. Le fil du discours est étonnant, les enchaînement surprenants autant que l’écriture et les images suscitées, ce qui fait que ce livre sur la mort, la dépression, et la famille est unique. » Librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil
« J’ai toujours ton coeur avec moi est un roman d’amour. celui d’une fille pour sa mère imparfaite mais terriblement vivante, bourrée de défauts et donc pleine de reliefs. Une histoire poétique présageant des jours meilleurs. Très beau ! » Audrey Bourbon, librairie La Manœuvre — Paris
Coup de cœur de la librairie des Marais de Villefranche-sur-Saône
« Une femme va enterrer sa mère au nord de l’Islande et va prendre possession de sa maison perdue sur une petite île. Lui remontent alors les souvenirs douloureux de sa relation tourmentée avec sa mère. Au cœur de l’Islande sauvage Soffia Bjarnadottir réussit à nous faire ressentir les forces invisibles de la nature et la poésie tellement particulière à ce pays. » Librairie Vivement Dimanche - L’Ainée — Lyon 

« C’est le récit de Hildur sur sa mère Siggy qui n’est plus et qui n’a d’ailleurs jamais été là pour sa fille. Hildur parle aussi de sa propre histoire, de la désillusion, de ce que sa mère n’a pas su lui transmettre. C’est un récit très touchant, mélancolique et poétique qui décrit bien l’étrange solitude des personnages. » Librairie Le Libr’air — Obernai 

« Hildur exauce le dernier voeu de sa mère décédée : retourner sur l’île de Flatey, dans sa demeure. L’occasion de se souvenir de cette mère qui ne fut pas toujours très présente, mais aussi à leurs ressemblance et remettre un semblant d’ordre dans sa vie. Étrange et mélancolique. » Hélène, librairie Hall du Livre — Nancy 

« J’ai toujours ton cœur avec moi est un tourbillon de pensées qui se perdent dans des jours perdus, de pensées angoissées prisonnières de la narratrice, qui néanmoins avance. On tente de la suivre, à une distance raisonnable, car on croit malgré elle que peut-être le soleil… » Librairie Point Virgule — Namur (Belgique)

« Revenir pour renaître, revenir pour goûter à ce que le passé fut, tendre ou parfois dur. Hildur l’héroïne de ce roman revient dans son Islande natale suite au décès de sa mère. Dans la petite maison jaune de l’île de Flatey elle se remémore de qui fut cette mère qui n’en fut pas une, cette femme qui n’avait de cesse que de mourir et de renaître. Elle passait d’une vie triste à la lumière en un instant, cette femme, qui fut tout sauf une mère, lègue à sa fille une renaissance. Pour un premier roman la thématique est des plus surprenantes, elle est abordée avec une douceur infinie et en même temps la douleur n’est jamais loin. L’écriture se veut poétique, elle nous enveloppe de belles phrases, nous envoûte et nous emmène dans un récit toujours plus touchant. On ne voit pas le temps passer et on goûte chaque instant avec une intensité parfois amère, parfois douce. Un premier roman très réussi ! » Librairie Multipresse — Spa (Belgique)
« Un très beau récit, fantasque et touchant. » Valérie, Librairie de Paris — Saint-Etienne 
« Un très beau premier roman, une plume pétillante pleine d’humour et de poésie ! » Agnès, Nouvelle Librairie Sétoise — Sète
« Hildur revient en Islande pour enterrer sa mère, la fantasque Siggy. Elle lui a légué sa maison sur l’île de Flatey, pendant quelques jours Hildur se souvient de sa mère, de ses excentricités et aussi de la distance installée entre elles. Comment grandir aux côtés d’une telle femme ? Il y a de l’humour, un brin d’absurde et beaucoup de poésie dans ce très beau roman de Soffía Bjarnadóttir, un merveilleux moment de lecture. » Valérie, librairie Ravy — Quimper
« Un GROS coup de coeur pour Soffia Bjanardottir. Une pépite, dérangeante comme il faut, écrite avec les tripes, j’adore. J’ose espérer qu’elle donnera suite à l’histoire avec David dans un deuxième opus ! » Mathilde