Marcus Malte
Marcus Malte ne cesse de surprendre par l’originalité et la maîtrise de ses oeuvres. Après Garden of Love, Le Garçon (Prix Femina) ou Qui se souviendra de Phily-Jo?, Aux marges du palais est un feu d’artifice d’inventivité verbale, une fable sociale et politique à l’humour ravageur.
« Marcus Malte a toujours été comme ça : inclassable et aventurier. » Télérama
Marcus Malte chez Zulma
Bonus
« C’est ludique à souhait, drôle et très efficace. Marcus Malte réussit joliment son « grand roman à l’américaine ». »
Lire
« — Un mouvement de grève a débuté dans un hôpital public de la région de Styxfjjx.
— Toujours les infirmières ? Laissez-moi deviner : elles exigent une énième augmentation de salaire, je parie !
— Pas tout à fait. En l’occurrence, ce sont les malades qui font grève.
— Quoi ? Ils veulent aussi être payés ?
— Non, mon archimar. Leurs revendications ne sont pas financières. Elles seraient plutôt d’ordre alimentaire. Ils ont faim. Ils prétendent qu’on ne leur a pas servi de repas depuis trois jours.
— Les ingrats ! Répondez-moi sincèrement, Carambar : si on vous donne le choix, vous préférez mourir d’un atroce cancer du pancréas ou bien mourir paisiblement d’inanition ? »
Aux marges du palais de Marcus Malte
« Un auteur épatant,
qui prend un malin
plaisir à surprendre. »
La Vie
« Marcus Malte mène tambour battant une intrigue tout en ramifications et digressions afin d’approcher une vérité qui fuit de toutes parts. (…) Ébloui par ce roman [le lecteur] se met à douter de tout. »
Le Monde des Livres
« Magnifiquement construit !
Génialement pensé ! Ciselé, drôle, percutant,
inventif : Marcus Malte nous offre un pur joyau !
Immense coup de cœur ! »
Thomas Carle, Librairie de Paris
Les coups de cœur de la Librairie de Paris« On connaît le don de conteur fabuleux que possède Marcus Malte. Le voici dans toute sa splendeur. »
Élise Lépine, Transfuge
Les lectures d’Élise Lépine« C’est jouissif de lire Marcus Malte, cet inclassable auteur, ces jeux de lettres azimutés, cette marge salvatrice à lire (surtout surtout ces jours ci), cette narration atypique, ces changements de style, ça secoue, ça déroute, avec le sourire, le propos est utopique, paraît-il, mais non, juste vrai, juste fin, juste juste ! »