Hubert Haddad

Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de son œuvre, Hubert Haddad est également peintre et critique d’art. Il a notamment publié un Magritte et une histoire de l’art à travers le thème du jardin, Le Jardin des peintres (Hazan). Avec L’art et son miroir, il nous invite dans son musée intérieur – dans les mille directions de l’imaginaire qui seul peut nous ouvrir à l’infinité sensible du monde.



« Demeurant face à la mer, non loin de Honfleur, je contemplais les brumes du large quand j’aperçus distinctement, spectre réel de l’aube, une magnifique goélette toutes voiles dehors. À la seconde, me furent donnés le sujet et la forme de ce récit quelque peu déduit de L’Île au trésor, ou plutôt de l’émotion adolescente qui nous en reste. C’est donc à tous les naufragés de la baie de Seine, autant qu’à l’inimitable R. L Stevenson, que ce roman est dédié. »

Hubert Haddad

« Hubert Haddad est un poète ancré dans la réalité, un regard subtil sur la complexité humaine. »

Ouest France

Hubert Haddad chez Zulma

Bonus

« Deux nuages de fumée ocre s’élevèrent et, comme de lourds rideaux de théâtre, se refermèrent avec lenteur sur cette part du ciel. Il y eut un ultime échange de munitions en crescendo s’achevant fortissimo sur une succession de huit accords, huit explosions qui firent trembler le sol. – Beethoven ! s’exclama Wilfried. Le final de la cinquième symphonie ! Je jurerais que c’est joué par des appareils anglais, des bombardiers bimoteurs Vickers Wellington plus précisément… »

Hubert Haddad, La Symphonie atlantique

« L’infatigable défricheur de l’imaginaire. »

Le Monde

« Hubert Haddad est de ceux qui pensent que l’aventure, l’adolescence et le roman forment une trinité indéchirable. Avec Meurtre sur l’île des marins fidèles, il a clairement hissé le pavillon stevensonien. (…) Haddad s’enivre de ce jeu tout comme les petits garçons s’habillent en pirate en y croyant dur comme fer. Et nous avec. »

La Croix

Hubert Haddad
dans Apulée