Georges-Olivier Châteaureynaud

Lauréat du Prix Renaudot en 1982 pour la Faculté des songes et du Goncourt de la Nouvelle en 2005 pour Singe savant tabassé par deux clowns, Georges-Olivier Châteaureynaud fouille et exhume l’inattendu en toute chose comme un magicien dans un cabinet de curiosités. D’où cette écriture d’une puissance parfois lunaire qu’Edgar Allan Poe n’eût pas désavouée. L’Autre Rive a été couronné par le Grand Prix de l’Imaginaire.

Georges-Olivier Châteaureynaud chez Zulma

Bonus

« Georges-Olivier Châteaureynaud a réussi son chef-d’œuvre : une imagination débordante, une cascade de rebondissements, d’intrigues qui s’entremêlent, un humour
en permanence décalé et une éblouissante maîtrise de la langue. »

Jean-Claude Perrier, Le Figaro

« Une lumière aveuglante le contraignit à refermer les yeux, pour les entrouvrir aussitôt. Enfin de la lumière, après cette errance et cette chute au fin fond des ténèbres ! Il discerna confusément, penché sur lui, moins et plus qu’un visage. De gros yeux noirs en retrait d’un mufle aux larges nasaux l’observaient avec curiosité. Au-dessus d’oreilles velues, le crâne arborait deux cornes aux pointes effilées. Le cou et le torse, puissants, n’étaient pas d’un animal, mais d’un être humain. Le reste demeurait indistinct dans le halo de la lampe-tempête tenue au-dessus d’Alphan. »

Georges-Olivier Châteaureynaud, À cause de l’éternité

« Un roman extraordinaire d’invention, de fantaisie, de rêverie. »

Le Télégramme

« Fresque monumentale, saga à rebondissements, allégorie hallucinatoire… C’est la littérature en grand et ça décoiffe ! »
La Dépêche

Georges-Olivier Châteaureynaud
dans Apulée