Nouvelles traduites du bengali (Inde) et présentées par Bee Formentelli
Un poète du dimanche relégué dans un village se pique d’apprendre à lire à Ratan, l’humble fillette qui le sert ; deux amis se déchirent à cause du citronnier qui sépare leurs jardins ; une petite fille, à peine sait-elle écrire, trace partout ses états d’âme poétiques avec un bout de charbon, sur les murs, le cahier de comptes de son père, les manuscrits de son frère ; une enfant de cinq ans se lie d’amitié avec un colporteur afghan qu’elle rejoint en bas de chez elle dès qu’il passe – Kabuliwallah ! – mais qui un beau matin ne se présente plus… Délicieuses et dramatiques, ces vingt-deux nouvelles, qui se déroulent au cœur du Bengale et de Calcutta, sont d’un inépuisable envoûtement.
« Une telle authenticité, une telle humanité… Le lecteur ne pourra pas ne pas sentir sa gorge se serrer. »
Le Monde des Livres
« Il y a tant de délicatesse dans la façon qu’a Tagore de saisir les bruissements de l’âme de ses personnages en un même bouquet fragile. »
Transfuge
Poète, romancier, dramaturge, philosophe, compositeur, peintre, Rabindranath Tagore (1861-1941) s’est engagé toute sa vie pour la reconnaissance des droits universels des peuples et des individus. Il a reçu le prix Nobel de littérature en 1913. Déjà parus chez Zulma : Quatre chapitres, Chârulâta et Kumudini.
Bonus
« Une telle authenticité, une telle humanité…
Le lecteur ne pourra pas ne pas
sentir sa gorge se serrer. »
Florence Noiville, Le Monde des Livres
Les lectures de Florence Noiville« Des histoires tendres, ou parfois si cruelles, mais tellement universelles et intemporelles ! »
Librairie Le Temps d’un livre – Pontarlier
Les coups de cœur de la librairie Le Temps d'un livre« L’œuvre de Tagore est
d’une beauté immortelle et invétérée. »
Marine de Tilly,
Le Point
« Le regard de Tagore
sur la société indienne
si multiforme, divisée en castes,
traversée de tensions
et hantée par le fatalisme,
est à la fois incisif
et mélancolique. »
Alain Favarger, La Liberté
« Il y a tant de délicatesse dans la façon
qu’a Tagore de saisir les bruissements
de l’âme de ses personnages
en un même bouquet fragile. »
Rencontre avec la traductrice Bee Formentelli au festival Vo/Vf